Stefan Zweig – Destruction d’un cœur
Avec Maupassant pour modèle, Stefan Zweig s’est attaché, selon ses propres mots, à donner à chacune de ces trois nouvelles toute « la substance d’un livre ».
Dans Destruction d’un cœur, un vieil homme ne se résout pas à admettre que sa fille devienne adulte.
Il se laisse consumer par une jalousie qui, peu à peu, l’isole de ses semblables.
Romain Rolland voyait là l’une des « plus lucides tragédies de la vie moderne, de l’éternelle humanité ».
Dans La Gouvernante et Le Jeu dangereux, c’est encore la cruauté des rapports entre générations – mais aussi l’intelligence immédiate des enfants face aux choses de la vie ou le refus de vieillir – que Stefan Zweig met en scène.