Oliver Carzon – La Disparue du Mont des Princes
Haute-Savoie, Seyssel, 1989 :
Un serial-killer défraie la chronique en tuant 9 jeunes filles à dates fixes. Le traumatisme dans la population est tel que toute l’activité économique est arrêtée.
La psychose s’installe.
La police fait appel à Thomas de Renéville, un profileur de génie, pour cerner la personnalité de ce diabolique assassin, mais malheureusement elle reste incapable d’arrêter ce maniaque qui sème la mort et l’épouvante.
Pourtant 4 suspects sont sur la sellette mais rien de déterminant ne permet de les inculper. Un soir de juin, par un heureux coup du sort, un incendie met fin aux activités du « tueur en série du Printemps », comme l’ont surnommé les journalistes, mais sa dixième victime, Céline Boclet, perd aussi la vie dans le brasier.
De nos jours, 2015 :
3 personnes, dont une habitant Franclens, sont assassinées par un personnage sorti tout droit d’une BD : Guinea Pig ! Qui se cache derrière ? Point commun : similitudes exactes dans le mode opératoire. La police est perplexe. À Genève, un poivrot notoire est assassiné après avoir raconté à la cantonade qu’il avait des révélations fracassantes à faire sur le tueur du Printemps.
Pourquoi 30 ans plus tard ? Qui aurait peur d’un ivrogne au point de l’abattre ?
Francis Magenta, le patron de Mondial Protection, se demande ce que tout cela peut bien cacher, d’autant plus que d’anciens amis, membres de l’Intérieur, semblent préoccupés par la nouvelle situation.
Quel lien peut-il y avoir entre une affaire classée depuis presque 30 ans, cette série de meurtres a priori sans mobile et le cambriolage de sa maison de campagne à St Germain-sur-Rhône ? Pourquoi tant de gens différents s’intéressent-ils soudain à cette affaire ? Pourquoi Thomas de Renéville quitte les États-Unis pour venir s’installer à Seyssel ?
Aidé de son inséparable ami, Stanislas « Stan » Jourdan, Magenta va peut-être découvrir une effroyable manipulation, mais… mortelle !
