Isabel Keats – Dans un coin perdu du monde
Max ressent le besoin de s’éloigner de la vie sociale trépidante de Manhattan et de trouver un coin solitaire pour composer la bande sonore qu’on lui a chargé de créer et quel meilleur endroit pour cela que le petit village près de Teruel où vivait sa grand-mère, qu’il n’a jamais connue ?
En effet, à Santa Olaria de la Mata, il ne semble pas y avoir trop de distractions ; la moyenne d’âge des habitants qui se résument à une douzaine à peine est d’environ soixante-dix ans. Il n’y a pas internet et on ne capte pas la télévision. Par ailleurs, le village reste généralement isolé durant les mois les plus durs de l’hiver. La dernière chose à laquelle Max s’attend est de trouver l’amour de sa vie dans ce coin perdu du monde, mais quand il se rend compte du danger qu’il court, il est déjà trop tard pour y échapper.
Qui pourrait imaginer qu’il trouverait l’amour dans un endroit de nulle part ?