Hélène Blanc et Claude André – Bons baisers de Paris

1979 : Sverdlovsk URSS – un laboratoire travaille dans le plus grand secret sur la variole, la peste et autres virus de fièvre hémorragique. En ce vendredi 30 avril, les broyeuses et sécheuses du site 19 avaient fonctionné des heures durant sans aucun filtre afin de produire une poudre mortelle : désignée sous le nom de code 836, cette souche s’était avérée particulièrement agressive. Et sa dissémination accidentelle dans l’atmosphère allait se révéler terrible. Le Tchernobyl bactériologique de l’Oural. Le programme secret de recherche sur les armes bactériologiques venait d’être révélé au monde. Mars 2024, Aralsk – mer d’Aral. Ile de Vozrozhdeniya. Un site d’enfouissement abandonné. Des trafiquants de métaux sont gravement contaminés en récupérant sur l’île des fûts qu’ils comptent revendre aux mafias d’Almaty. Avril 2024 Paris – Bonnier, chef des services de renseignement vient d’être informé d’un projet d’attentat bactériologique pendant les JO Avril 2024 Moscou – Doubinine (protagoniste du précédent opus -« Bons baisers de Moscou ») reprend du service. Il vient d’être extrait du camp où il croupissait. Il est chargé par Le FSB (Ex KGB) de récupérer les virus modifiés, de manipuler avec l’aide de l’Iran un groupe terroriste islamiste et de leur fournir l’arme.

 

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