Franz Savigny – Les Condottières T05 Chaos Kommando

Cette fois, les Condottieres mettent les voiles en direction de la Finlande, dans ce cinquième épisode de ma série thriller-espionnage.
Et Astrid, la sublime combattante au cœur si fragile et si tendre, devra affronter une situation à laquelle elle n’était pas préparée, et qui la déstabilise un max !
Sans compter que les Russes, et la mystérieuse Organisation, lui réservent un accueil plutôt… explosif !
Allez, dépêche-toi de cliquer pour les rejoindre !
Quoi ? Tu veux un extrait ? Le voilà (c’est le début du premier chapitre) :
Je suis au téléphone avec un vieux copain, fan de philo, pendant qu’Astrid, en string et micro-T-shirt, se peint les ongles de pieds en violet.
Nous discutons de l’impact réel de Félix Guattari dans la genèse de Mille Plateaux, le fameux best-seller de Gilles Deleuze. OK, tu vas me dire, tu n’en as jamais entendu parler, ou quasiment. Et ben, je vais te répondre que tu as tort, que tu devrais te bouger parfois, et t’ouvrir un peu l’esprit. C’est vrai, quoi, merde, tu vas te contenter toute ta vie des conneries de la télé et des chroniques pourries de la presse parisienne ?
Ce que j’en dis, après tout…
Je vais te révéler un secret : avec Astrid, on a craqué. Ouais, incroyable, mais véridique… nous habitons ensemble : t’imagines ?
On s’était juré de pas le faire, pour nous laisser respirer un peu, mais c’est de la couille, de la réflexion de lectrice de Cosmo ou du Monde (ça revient au même aujourd’hui !). Je ne peux plus rester sans elle, et elle non plus ! La grosse fusion ! On ne forme quasiment plus qu’un seul organisme, une putain de machine de guerre, un panzer invincible (en théorie), et tu sais quoi, si tu vis ça, t’as plus peur de la mort, de la vieillesse, et de tout ce qui nous attend. T’as plus les tripes qui tremblent, non, vraiment. Et tu n’ignores pas comme moi que la frousse, c’est le truc qu’utilise tous les profs, les politiques, les parents, les curés pour te faire plier, et et t’obliger à des combines dont t’as pas forcément envie… alors, quand tu t’en débarrasses, la grosse bouffée d’air pur, la majestueuse oxygénation du cerveau !
On a trouvé une super baraque, pas trop grande, avec un petit jardin, à Versailles, une des dernières banlieues encore habitables. Et je dois dire que je retrouve le rythme que j’avais quand je vivais seul, en province, dans ma vie antérieure, celle d’avant les Condottieres.
Tu devrais nous voir, prendre le frais dans le garten, regarder des séries le soir sur le canapé en nous tenant l’un contre l’autre… totale bourgeoisie ! Mais trop cool…

 

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