Florence Delaporte – Les champs captants
» On pouvait vivre aux Champs captants un moment de perfection, comme l’émotion que procure le partage d’un tendre aveu. La présence profonde, intime, d’un amour inconditionnel de l’existence que l’on souhaitait depuis toujours et que l’on accepte enfin. »
Pia renverse en voiture un vieil homme et décide de rester à son chevet. Comme elle, Henri est seul. Pourtant, il a aimé deux femmes, rencontrées dans une maison de plaisir, sur les Champs captants, une île sauvage du Rhône. Leur histoire fut hors du commun… jusqu’à ce que le destin s’en mêle.
Pia, qui n’avait d’yeux que pour le matériel et le paraître, s’ouvre au silence. Parviendra-t-elle à se défaire de quelques oripeaux et à se pardonner ?
Un jour, dans le logement décrépit qu’elle vient de louer, elle découvre un carton abandonné. Et s’il la menait jusqu’aux Champs captants ?