Aurore Eychenne – Le mal a un nom
Un jeune homme du nom de Nicholas Giraux est hospitalisé au sein d’un service psychiatrique pour dépression chronique. Le silence du patient quant à ses antécédents soulève des interrogations auprès des soignants du service. Sa meilleure amie, Ana Richard, serait la seule à connaître les raisons qui ont conduit son ami à se faire interner, raisons dont les origines remonteraient à l’automne passé.
Pour célébrer leurs six ans d’amitié, Ana souhaite réunir ses amis, Nicholas, Zachary et Luc, le soir d’Halloween. En recherche de frissons et d’aventure, Ana propose à ces derniers de passer une nuit entière dans un hôpital abandonné, à proximité de la ville dans laquelle ils ont grandi. D’abord peu enthousiastes, ses amis finissent par accepter, réjouis de pouvoir enfin se retrouver. Dans ce lieu où émergent les souvenirs de leur passé douloureux, la peur et l’angoisse viennent remplacer l’excitation initiale des protagonistes. À la suite de cette nuit, où une succession d’événements bouleversent les croyances de chacun, tous tentent de se remettre de leurs émotions. Nicholas, membre de la police scientifique, décide alors de mener sa propre enquête pour tenter d’expliquer les incidents survenus cette nuit-là. Au fil de ses recherches, des histoires macabres sont révélées, accentuant la détermination du jeune policier, prêt à risquer sa carrière et sa vie pour mettre un terme à ses questionnements.
